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Ça avance !

C’est agréable, pour une fois on a une impression que les travaux avancent bien !

Tout d’abord nos enduits en terre au rez-supérieur sont finis ! Il reste tout de même la couche de finition (couleur, texture, etc...) mais ce sera pour la fin des travaux. Pourquoi à la fin des travaux ? Ben parceque la loi de Murphy dit que « si tu fais tout beau, c’est sûr qu’à un moment ou à un autre, tout le matériel que tu vas rentrer et manipuler dans la maison touchera tes belles finitions et tu pourras en refaire un bout... ». Un homme avertit en vaut deux !

La paillasse de l’escalier est en train de se faire doubler (elle devient donc solide). Pour ce faire, l’artisan met quand même une armature en plastique entre les deux couches afin de la renforcer.

Au 1er, on a déjà 3 pans d’enduit de corps qui sont finis. Merci Isa !

A la salle de bain du rez-supérieur, notre mur de la douche est fait. Pour celui-ci on voulait de la sensualité. On a donc décidé l’arrondir le haut du mur.
Pour le mortier pour faire les joints, on a utilisé une mélange de terre (celle que j’utilise pour mes enduits) et de chaux hydraulique (1 volume de chaux pour 2 volumes de terre).
Et voici le résultat.

Le mur de la salle de bain.

Une fois ce mur fait, on a attaqué un mur en semi-parement [1] qui sera fait en moellons. Ce n’est pas ce qu’il y a de plus facile à faire car je souhaite qu’il soit non linéaire. C’est à dire que l’arrangement des moellons ne soit pas en ligne, mais plutôt aléatoire. Je constate que notre tendance (peut-être dû à notre société ?!) est d’aligner les choses (voir la première rangée de notre mur). Mais bon en se faisant un peu violance ;-) on y arrive.

Le début du parement en moellons.
Notes

[1Semi-parement car on prend de vraies pierres de notre vrai terrain qui se trouve vraiment devant la maison. De plus notre terrain se trouve dans une ancienne carrière de pierre jaune d’Hauterive, qui pour moi est une magnifique pierre.

De l’acoustique en plaques

Aujourd’hui j’ai reçu mes panneaux « Pan-Terre Acoustix » qui serviront à faire une isolation phonique (pour le bruits d’impacts et aérien) au niveau du plancher (entre étages).
J’ai trouvé ces panneaux dans le livre L’isolation phonique écologique (ISBN : 978-2-36098-047-5) que je vous conseille.

Nous allons donc mettre ces panneaux sur notre plancher « primaire » puis nous mettrons le plancher (flottant) définitif dessus. Ceci a pour but de minimiser les bruits d’impact (quand on marche ou on laisse tomber quelque chose) entre les étages (surtout le rez-supérieur et rez-inférieur). En même temps, on ne fait pas une « fixette » là-dessus car en cas de bruit, les seuls personnes « embêtés » seront nous-même...

Autrement, le mur en pierre avance, mais on a des doutes quant au fait qu’il nous plaise vraiment. On va donc y réfléchir et on verra ce qu’il adviendra. Je vous tiendrai au courrant ;-).

Au niveau électrique, j’ai aussi installé quelques boitiers de dérivation au 1er. J’ai donc presque fini de mettre les tubes au 1er, il me reste que quelques endroits qui sont pour le moment inaccessibles.

Absorbeurs « part two »

Voilà, une journée plus tranquille pour le brasage des trois derniers absorbeurs.

Pas de problèmes particuliers, on a tenu un bon petit rythme de plus ou moins un absorbeur par heure (à deux). Le métier commence à rentrer ;-).

Cintrage du serpentin sur la table à cintrer.

Pour gagner un peu de temps, on a utilisé une perceuse avec un embout pour poncer. Pour les bandes noires sur le bords c’est extra, mais pour la surface, je trouve que c’est plus efficace cette bonne vieille « Scotch-Brite ».

Nettoyage des plaques avec la perceuse.
En fait on a fait uniquement les bandes noires, le reste a été fait à la "Scotch-Brite"...

Une fois les absorbeurs finis, on est allé chercher du matériel (isolation pour l’accumulateur et le champ de capteurs) chez un fournisseur à Renens.

Encore une fois un grand merci à mon Papa !

En rentrant déposer tout le matériel dans la maison, j’ai croisé l’artisan qui fait les escaliers. Il a fini trois marches. C’est cooool... On pourrais même déjà y monter.

Les trois marches.

Apparemment on a aussi eu la visite impromptue d’un contrôleur du service de l’environnement pour voir si on avait un chantier propre (pas de produits chimiques qui trainent, pas de feux pour éliminer les déchets, etc...). Il est apparement repartis content car il est vrai qu’on a très peu de déchets poluants. Dommage que je n’étais pas là pour l’accueillir, j’aurais eu plaisir à lui montrer un chantier « propre »...

Un chantier partipatif improvisé

Ce n’était pas vraiment prévu, mais on s’est retrouvé à six sur le chantier pour mettre de la terre.

Heureusement qu’en début de matinée on était deux homme pour déjà préparer une bonne quantité de terre, car une fois que ces dames sont arrivées, ça a commencé à sérieusement débiter. On s’est même retrouvé à cours de surface à enduire...
On a bien essayé de mettre quelques paillons pour refaire de la surface à enduire, mais je me suis retrouvé à cours d’agrafes pour la paille.

Une des surfaces enduites.

Il y a une paroie qui a été enduite sans paillons. Pour la raison que sur cette paroi, on va mettre du lambris, mais j’ai quand même tenus à mettre l’enduit de corps pour deux raisons : c’est ce qui était déclaré sur les plans et j’aimerai boucher tout les possibles passage pour les éventuelles souris.
Il semble que ce n’était pas si facile que ça à mettre. J’en ai entendu plus d’une râler ! ;-)

Enduit à même la paille.
Pas si facile que ça...

On a aussi cassé tous les angles optus des cloisons afin qu’on puisse arrondir un peu l’enduit à ces endroits.

Angle cassé.
On ne voit pas très bien, mais en cherchant un peu vous verrez...

Un grand merci à Estelle, Françoise, Christelle, Isabelle, René-Pierre et Mathieu pour leur précieuse aide !

Préparatifs pour escaliers

Pour commencer cette journée, je suis allé acheter du matériel pour la suite, ce qui prend vite un peu de temps.

Suite de quoi, j’ai fait et installé une petite poutre en renfort qui va servir à d’appuis à la paillasse pour l’escalier qui ira de l’entrée au rez-supérieur.
En effet on essaie de gagner là un maximum de place en faisant descendre directement la première (ou dernière si on monte) marche au niveau de la solive. La porte d’entrée ouverte prend pas mal de place et on risque d’être un peu « cougnés » là en-bas. Affaire à suivre...

Le renfort en dessous de la solive.

Suite de quoi, on a rangé la cave - ou plutôt déplacé une partie - car on va maçonner un mur de séparation.
Une fois fait, on a fait une petite fouille dans les cailloux, puis on a fait le coffrage pour faire une petite semelle en béton et on l’a coulée. On attend maintenant que la semelle ait pris pour commencer à monter le mur.

Aussi, j’ai commencé à construire l’escalier qui liera le rez-inférieur à l’entrée.

Pour ce qui est de la conception de celui-ci, je vais faire des limons en crèmaillière sur lesquels viendront se poser les marches, puis je ferai les marches en deux temps : d’abord avec du plancher sapin (le même que pour mon plancher primaire actuel) et la finition en plancher chêne massif (comme le reste des marches de la maison d’ailleurs).
Je vous passerai les détails de calcul de l’escalier, entre le balancement des marches, la ligne de foulée, les épaisseurs des matériaux, etc... Mais bon j’ai été bien aidé par un logiciel de calcul ;-) qui en plus m’a exporté tout ça dans Sketchup afin que je puisse simplement prendre des mesures directement en 3D !

L’escalier en 3D.

Pour ça j’ai commandé des panneaux 1 pli de 6 cm d’épaisseur dans lesquels je découperai mes limons en crémaillère. Je les ai pré-découpés aux dimensions extérieurs puis je les ai placés à leur emplacement définitif. Ensuite j’ai dessiné les marches à l’aide de mon niveau laser, d’un niveau à bulle et de mes plans 3D.
Demain la suite...

Un limon prêt à être dessiné.
Des escaliers en veux-tu en voilà !

Tout d’abord grande nouvelle, les marches de l’escalier qui va du rez-supérieur au 1er sont terminées, on peut donc maintenant l’utiliser !
Il reste à fare les barrières et l’enduit de finition.

Et voilà toute les marches.
Quel plaisir de monter cet escalier !

Pour ma part j’ai découpé les limons en cremaillère. Pour le faire j’ai utilisé ma scie circulaire un maximum. Comme la lame est ronde, il reste toujours un petit quelque chose à découper une fois la scie arrivée au trait. J’a donc fini les découpes à la scie sauteuse.

Découpage des limons.
A la scie circulaire puis je finis à la sauteuse.

Je suis très content du résultat. De plus une fois mis en place, mes marches sont parfaitement d’aplomb ! Good job !

Limon gauche.
Limon droit.

Sinon le mur de la cave avance bien, on en est à peu près à la moitié.

Voilà déjà la moitié.
En avant, « marches » !

Voilà, je commence par faire une pièce de retour du limon en cremaillère (limon gauche en bas qui fait l’angle). Tout bien, je le pose in situ et là je constate que je suis environ 3 cm trop bas ?! Oh oooohhh... Bon je fais un contrôle, et assez vite, je constate que je me suis un peu planté ! Bon l’explication est simple, j’ai pas compté que sur la dalle en bois, j’allais mettre directement le plancher massif et qu’il n’y avait pas un marche de 27 mm dessous...
Bon c’est juste un peu embêtant car je dois démonter mes limons, couper le pied de 27 mm et remonter les limons. Mais rien de bien grave, juste une perte de temps.

Une fois la petite erreur rectifiée et contrôlée, je fais donc les pièces manquantes pour finir les limons, les régler et les fixer.

Les pièces du limon en bas.

Je m’attaque ensuite aux marches. Pour les faire, j’ai prévu d’utiliser les restes de mon plancher sapin 27 mm. Je fais assez vite les 4 marches droites (facile) puis je m’attaque aux marches balancées qui vont être mois faciles à faire. J’utilise directement l’ordinateur pour les mesures.

Quelques marches.

J’ai réussi à n’en faire qu’une car j’ai dû m’arrêter pour faire une autre tâche plus urgente.

Au niveau des escaliers maçonés, j’ai eu la bonne surprise de voir que l’escalier qui va de l’entrée au rez-supérieur est fini ! Il y a même déjà la rembarde qui est faite. Du coup dès que j’aurai fini avec mes escaliers, toute la maison sera liée par les escaliers définitifs !

L’escalier qui va de l’entrée au rez-supérieur.
La rembarde.

Il y a aussi le chauffagiste qui est venu et il a terminé de brancher tous les éléments pour pouvoir allumer le poêle. Du coup jeudi prochain on fera une mise en service du système et on pourra faire un feu. C’est un peu tard dans la sasion, mais bon on va peut-être pouvoir chauffer un peu ces derniers jours de froid...

L’installation finie.
Newbie...

En me projetant dans le fait de faire toutes mes marches avec des lames de plancher et en constatant que je n’aurai surement pas assez de bois pour le faire, j’ai craqué et je suis allé acheter un panneau contreplaqué 3 plis de 27 mm (ma fois tant pis pour la colle...).

Hé ben, c’est vachement plus simple à dessiner puis à découper... Bref, une fois mes marches découpées je vais les mettre en place et là je constate que j’ai fait l’erreur du débutant : Le bois - même contreplaqué - a un sens et il est plus résistant dans le sens des veines (celles de dessus et dessous) que dans l’autre sens. Comme je ne me suis pas posé la question, j’ai simplement dessiné et découpé dans le panneau comme ça m’arrangeait. Ben c’est pas bien ! Une fois mes marches en place (qui soit dit en passant entraient pico-bello à leur place), quand je marchait dessus, elles étaient drôlement souples, elles ne donnaient pas confiance. Rââââââââhhhhh.
Solution : je vais leur mettre un renfort dessous avec mes restes de planches 30 mm (et les veines dans le bon sens ;-) ).
Résultat : c’est cool, mes marches d’escaliers son solides.

L’escalier fini.
On voit sous les marches les renforts...

Voilà, l’escalier est fini et opérationnel, en tout cas pour sa première partie. Reste les finitions (marches, contre-marches et nez de marches en chêne massif).

Conclusion de cet escalier : je confirme que c’est pas facile à faire, il faut penser à beaucoup de choses. Mais maintenant j’ai une expérience et ça c’est du tout bon !

On a aussi fais un bout du mur en briques de la cloison de la cuisine, Ce mur a deux nervures qui serviront à poser l’évier en pierre. Le mur lui-même sera le sous-bassement de la cloison avec la fenêtre intérieur.

Une vue 3D de la cloison et sa fenêtre intérieur.
Le mur côté poêle.
Le mur côté cuisine.
Et les murets qui soutiendront l’évier.

Nicole est venue une fois de plus nous donner un coup de main, mais ce coup-ci je pense que ce sera la dernière fois car elle va imminemment commencer sa propre construction de maison en paille ! Bonne construction Nicole et encore merci pour tes multiples coups de main !!
Elle a passer sa journée à mettre des paillons pour que l’équipe qui arrivais l’après-midi pour travailler.

En parlant de l’équipe de l’après-midi, on a donc eu l’aide de tout une famille, qui sont venus nous mettre un bout de l’enduit de coprs au 1er étage.
Un grand merci à Manon, Valérie et Robin pour votre aide !

Le mur de la cave est fini

Afin de renforcer la statique des voûtes et des murs de la cave, les artisans qui ont fait les voûtes ont installé une barre traversante du mur nord au mur sud. Cette barre reprend les forces de poussée des voûtes (vu la forme arrondie).
Toutefois cette barre est pour nous pas très esthétique. Dans mon imaginaire, je voulais la cacher avec une poutre dans laquelle j’aurais fait une rainure, dans laquelle j’aurais glissé la barre.
Dans un soucis de simplification, avec ma femme on a trouvé une solution qui me va très bien : on ne va faire qu’un linteau avec une poutre (pour l’esthétique) puis nous allons maçonner le reste et cacher la barre dans les briques. Ces qui est fait !

En parallèle, le chauffagiste est venu remplir l’accumulateur car demain la mise en service du circuit du chauffage de l’eau par le poêle va être mis en service. On pourra peut-être allumer le premier feu ?! Affaire à suivre...

Mise en place et mur pilote

Ce week-end Pascal j’ai le malaxeur à axe vertical pour faire du béton de chanvre car je souhaite isoler le mur de la cave (côté intérieur). De plus demain j’ai 5 personnes qui viennent m’aider et je vais en profiter. Il faut donc que je me prépare pour demain.
Nous allons donc faire du béton de chanvre banché. Le principe est de monter un coffrage, mettre la matière entre le coffrage et le mur, puis de tasser le béton de chanvre avec un bâton. Vu la technique de mise en place, et dans un but esthétique, on va pigmenter (teinter) le béton de chanvre de différentes couleurs pour faire des strates visibles.

N’étant pas un spécialiste de ce genre de travaux, on va faire un mur pilote sous l’escalier (mur qui ne se verra pas....).

Tout d’abord il a fallu retirer les marches de l’escalier. Ensuite on a préparé le coffrage. Puis on a installé la machine. Enfin on a lancé un mélange comme suit : on a commencé par mettre un ballot de chanvre ( 200 l), puis un sac de chaux aérienne (25 kg), ensuite les pigments ( 500 g) mélangés à un peu d’eau, et pour finir un demi sac (15 kg) de plâtre (fixit101).

Une fois le méalnge fait, on a commencé à mettre le béton de chanvre. Quand le mélange fut fini, on est passé à la couleur jaune. Et on l’a posée.

Au niveau de la couleur, il faut que je dise que le rouge donne un peu rose et que le jaune est un peu pâle. Comme pigments, j’ai acheté des « ocres ». Pour avoir une couleur assez vive, je dirais qu’il faut au moins mettre 1 kg par mélange. Il faut aussi savoir qu’en séchant, la teinte va s’éclaircir. De plus, j’ai mis de la chaux aérienne car elle est blanche et donc n’altère pas la couleur, par contre j’ai pris du plâtre fixit101 qui est légèrement gris et donc a un peu parasité la couleur (surtout le jaune). Essayez donc de trouver un plâtre blanc (mais attention aux plâtres chimiques...).

Bref voici le résultat :

Mur pilote.
J’aime bien la ligne de séparation (strate).

Il y a aussi eu la mise en service du circuit de chauffage par le poêle de masse. Un installateur est venu, a branché les sondes et programmé le circulateur (pompe). Le poêle de masse est donc en théorie opérationnel. Je vais quand même appeler le poêlier-fumiste avant de faire un feu...

Un grand merci à Laurent pour sa précieuse aide !

Hop deuuuux. Tassez !

Aujourd’hui on a du monde qui vient nous aider. J’en profite pour faire l’isolation du mur intérieur de la cave en béton de chanvre.

On commence par quelques explications, puis on forme les équipes. Une qui fera l’escalier (très technique) et la seconde qui s’occupera de la grande partie à droite (travail plus massif).

On commence par poser les panneaux de coffrage. Le but étant de le tenir à une distance de 12 cm du mur, on a assez vite compris que le mieux était de mettre une première visse (visse de 120 forcément...) pour tenir l’écartement, puis une plus longue qui elle sert à tenir le panneau de coffrage et le serrer contre la visse d’écartement.

Pendant ce temps on a lancé la machine pour faire le premier mélange. Une fois fait, on a commencé à tasser en faisant attention à faire un peu d’art. C’est à dire qu’il fallait penser au rendu du mur vu qu’il sera apparent et qu’on le teinte. Donc on essaie de faire un peu de mouvement dans les « strates » [1].

Allez on tasse !
Ici on voit bien les deux visses : celle d’écartement et l’autre pour tenir le panneau.

Sinon pour le bon conseil, vraiment tassez bien. Malgré tout nos efforts il y avait encore quelques endroits qui étaient pas bien tassés. Ne mettez par trop de matière à la fois, sinon ça bourre sur la masse et en dessous on arrive pas tasser. C’est pas bien grave, mais un auto-constructeur avertis en vaux pas plus mais il est avertis !

On a presque tout fait, mais je devrai revenir demain pour finir car on a le malaxeur uniquement pour ce week-end.

Et voilà le travail. Bravo et merci à l’équipe, c’est du bon et beau boulot !!

La partie de droite.
On voit bien les différentes couches et les mouvements que les artistes on fait.
L’escalier.
Très beau !

Un grand merci à Thérèse, Sabine, Nicolas, José et Lany pour leur grande aide !

L’équipe au travail.
C’est carrément du sport !
Notes

[1Ce qu’on appelle les strates ce sont les différentes couches de différentes couleurs.

Mur en pierre version 2

Dans un article précédent, je vous disais que le mur en pierre ne nous plaisait pas forcément. Ben c’est confirmé ! Donc on a tout démonté et on a recommencé.
Ce qu’on a changé est :
 On va casser les pierres pour qu’on ait le beau jaune des pierre d’Hauterive.
 On va faire une mise en place un peu plus linéaire.
 On va faire des joints plus gros qu’n va remplire d’un mortier plus claire (si possible blanc).

On a déjà bien avancé :

Mur en pierre version 2.
On y voit un essait de joints clairs.

Comme je l’ai dit dans mon article précédent, j’ai dû finir de faire le béton de chanvre. Pour ce faire j’ai eu la grande chance d’avoir mon ami Didier qui est venu m’aider en dernière minute. Que tu en soit remercier ici ! C’était pas du luxe, car on a fini, mais sur les rotules (en tout cas pour ma part). Pour moi c’était clairement le jour de trop (bon ça va j’en ai pas eu beaucoup jusque là)...

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