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Une minute de silence

Oui notre cabanon n’est plus, il nous a bien rendu services ! Mais on ne le regrettera pas car ça nous fait une place, on pourra jouer au foot là derrière !!

Paul est donc arrivé, et après avoir bien vidé tout ce qui s’y trouvait, cric-crac-crouc, trois coups de pelle et hop la boum pare-terre le cabanon...

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Le cabanon n’est plus.

Sinon Paul s’active autour de la maison. Il fait du nettoyage, rassemble les différents éléments (dont la terre végétale) et commence à remblayer au nord (à l’emplacement du défunt cabanon).

Ça fait drôlement du bien de voir tout ça se décanter.

L’ouverture rapetisse

Après maintes discussions houleuses, on s’est mis d’accord ma femme et moi, et on a décider de réduire un peu notre ouverture entre le rez-supérieur et le 1er.

Ce matin, à la première heure, le charpentier est passé mettre une nouvelle solive.

Une fois fait, j’ai directement mis le plancher en sapin.

Une bonne chose de faite.

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Dessous.
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La rallonge de dessus.

Au niveau de l’auto-construction, je crois que nous arrivons à saturation avec ma femme, mais peut-être que je ferai un article prochainement pour m’étaler dessus.
Bref, du coup on a décidé de donner plus de travaux aux artisans et nous avons contacté des peintres, menuisiers, charpentiers et Paul va nous faire les extérieurs.

Ça coule ou pas ?

Bon aujourd’hui on va tenter de finir avec la récupération d’eau de pluie.

En fait Paul a connecté notre filtre avec les chéneaux et on a des petits soucis :
- Les chéneaux débordent ?!
Et donc l’eau ne descend pas jusque dans la citerne ! Bon on met une échelle et on constate rapidement que j’ai mis dans le trou de la descente de chéneau une crapaudine. Elle fait très bien son boulot, même trop bien et du coup tout est bouché ! Ce que je ne comprend pas est que j’ai mis des grillages « stop-feuilles » qui sont sensé éviter les feuilles dans la chéneau, et là je n’ai pas d’explications...

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Charogne de crapaudine !

Bah qu’à cela ne tienne, je les enlève purement et simplement. Bon maintenant les feuilles vont descendre la chéneau et vont aller jusque dans le filtre puis dans le puits perdu. Mais c’est pas génial. Paul me propose de mettre des « sacs coupe-vent » et je crois que c’est la solution. Feu départ !

- Bon maintenant, on vérifie que l’eau aille bien jusqu’à la citerne. Je descend donc dedans et Paul envoi une bonne dose d’eau. C’est un peu bizzare ?! L’eau arrive par le trop plein... Là je m’inquiète un peu. On vérifie et sur-vérifie et le couperet tombe : le filtre est monté à l’envers ! Mais comment j’ai pu faire ça ?? J’ai vérifié au moins 10 fois.
Heureusement que Paul était là avec sa machine car on a purement et simplement ré-ouvert et on a tout remis correctement.

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Rebranchement du filtre...

Pour finir, j’ai vidé la citerne et je l’ai nettoyée, puis j’ai finalisé le tuyau d’arrivée d’eau avec le dispositif anti-remous [1].
Il me reste à tirer le tuyau de pompage, mettre le siphon de trop plein, la crépine et bétonner tout ça pour que ça ne bouge plus.

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Comme un sou neuf !
On voit en bas le dispositif anti-remous.

On voit en bas le dispositif anti-remous.
Autrement j’ai eu le plaisir d’avoir Damien qui a fini de poncer les poutres et qui m’a bien aidé à nettoyer la cuve. Merci Damien !

Notes

[1J’ai simplement mis 2 coudes à 90° qui font que l’eau monte et ne brasse pas les dépôts au fond de la citerne.

Le soleil de la maison

On attaque les finitions du poêle de masse. Pour le décorer un peu on a décider de faire une petite mosaïque avec les enfants et de l’incruster dans l’enduit de finition.

Reste à peindre le poêle avec un badigeon à la chaux, puis il sera suffisamment prêt pour notre futur emménagement...

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Le PDM et sa mosaïque.

Paul de son côté a commencé le mur en pierres sèches.

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Un bout de mur.
La partie qui sera la plus haute.
Les événements de la vie

Si vous lisez régulièrement ce cahier de route, vous aurez surement remarqué qu’il n’y a plus trop de mouvements ici...

Eh oui, depuis presque une année, nous sommes entrés dans une phase pénible où les événements de la vie qui ne sont pas évitables font que la capacité à assimiler et conjuguer la vie privée, familiale, professionnelle, financière et « extraordinaire [1] » est devenu très limitée.

Aussi, voyant le temps défiler, et les travaux qui n’avançaient pas sur la même constante que le temps, nous avons décider de plus déléguer et d’engager des artisans pour certains travaux comme :

- La pose du plancher
- Les installations sanitaires
- L’électricité
- Quelques enduits et peintures
- La construction de l’ossature du vestibule (sas)
- Les extérieurs

Ceci a évidemment mis un coup d’accélérateur mais a aussi eu un impact financier sur le projet... De plus mon temps de travail a été freiné car il fallait coordonner et diriger tout ces artisans, et ça c’est pas de la tarte.

Donc, tout naturellement, j’ai mis l’énergie selon mes priorités et ce site n’en faisait pas partie.

Toutefois ça va maintenant un peu mieux. J’ai tout de même pendant tout ce temps continué à prendre quelques photos de nos travaux et quand l’envie et l’énergie (comme ce matin) sera là, je vous pondrai un petit article.
Il ne seront sûrement pas aussi assidus que ce qui a été fait jusqu’à présent, mais je pense que le principal y sera.
Je reste motivé à partager jusqu’au bout l’aventure et surtout les détails constructifs, mais je ne peux pas donner de garantie dans le temps...

Notes

[1Vous l’aurez compris, il s’agit du présent projet...

Maman les p’tits bateaux

Dans notre futur séjour, on a voulu le thème de la mer et dans ce but on a choisi de faire une paroi avec un bardage à clin blanc et bleu. Jusque là génial.

Mais dans l’esprit de vouloir déléguer pour gagner un peu de temps, on a décider d’acheter le bois pour cette paroi déjà peint. Hormis le fait que nous avons passé par dessus le fait que la peinture n’est pas très dans nos normes écologiques, les couleurs n’étaient pas exactement ce qu’on pensait.

Bon pour les installer, j’ai commencé à poser des lattes le long des piliers, puis j’en ai mis aussi au milieu pour consolider la paroi.

Comme d’habitude quand on fait du lambris ou du bardage, la lame la plus difficile et qui prends le plus de temps à poser est la première. Il a fallu la découper pour qu’elle épouse la forme du lambris des combles.
Puis tout est allé très vite, « clic-clac » les lames se sont emboîtées les unes dans les autres et hop voici le résultat !

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Partie gauche
On voit sur le pilier la latte d’accroche
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Un peu falshy non !?

Aaahhh mais ça fait mal aux yeux ça ! Ouaip une fois fini on trouve ça vraiment « flashy ».
On essaiera de rectifier le tir en éclaircissant ou vieillissant ou peignant les lames. Mais pour le moment, on laisse comme ça. Peut-être que quand il y aura les meubles ça va déjà atténuer l’effet psychédélique...

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