Présentation

Contact

Construction Mur de soutènement en rondins
Tenue décente

Voilà, le poêle est en « tenue décontractée », mais il faut encore qu’on lui mette son « smoking ».

En effet, on a fini de maçonner la coque de rayonnement. Toutefois, il faut encore faire le couvercle et la finition, à savoir l’enduit.

Alors qu’il me restait 3 éléments à fixer, mon sac de colle est arrivé au bout... Je fais un téléphone à mon poêlier-fumiste pour voir si je peux utiliser du ciment « sakrete » [1] et il me dit : « Non tu ne peux pas, mais j’arrive et je t’amène un nouveau sac et le reste du matériel ! ». Ouaaahhh quel service !

Effectivement 30 minutes plus tard, il est arrivé avec tout ça. Fort bien, il pourra me valider mon travail...

Tout est OK pour lui ! Il faudra juste meuler un peu autour du cadre de la porte afin que les plaques ne touchent pas l’insert. Le risque est que l’insert dilate lors de la flambée et qu’il pousse la coque de rayonnement. Ceci peut avoir pour effet l’apparition de fissures sur l’enduit.
Je dois aussi encore mettre des briques d’isolation derrière le poêle et faire le couvercle.

L’insert est trop près des plaques de chamotte.
Et voilà le travail.
Il est pas beau mon poêle ?!

Sinon, demain Paul va revenir faire un tour par chez nous car il est gentiment temps de terrasser les alentours en prévision de la construction des murs de soutènement et des terrasses.
Avant sa venue, on a donc dû nettoyer les alentours (planches, palettes, etc...) et marquer les lignes de terrassement.

Marquage pour la creuse.
Notes

[1Ciment que j’ai utilisé pour construire la cheminée, mais ce n’est pas une colle et de plus il a une prise lente.

Débuts des extérieurs

Voilà, il est gentiment temps de penser aux extérieurs, même qu’à l’intérieur c’est de loin pas fini !

Donc aujourd’hui il y a Paul qui vient avec une machine pour terrasser un bon coup. Il va :
 Nettoyer et mettre à niveau la partie est de la maison afin de pouvoir construire le mur de soutènement en rondins de bois.
 Creuser des trous afin d’y couler les fondations pour les piliers de terrasse. A faire avant la construction du mur en rondins car elles seront certainement un peu dessous.
 Terrasser la partie ouest afin que l’on puisse construire le mur de soutènement ouest qui lui sera en pierre sèches.

La partie est.
On y voit les trous pour les fondations des piliers.
La partie ouest.
Là où viendront les murs de soutènement.

Comme dit ci-dessus, nous avons choisis de faire un mur de soutènement en rondins de bois (d’une hauteur d’environ 2.80 m) pour des raisons évidentes de respect du lieu et de la nature. En effet c’est un moyen simple de ne pas utiliser du béton. De plus on trouve ça beau et chaleureux. Il est claire que ça devrait être moins durable (du point de vue temps évidemment, car du point de vue écologique c’est très durable...) mais je pense que ça va tenir en tout cas une vingtaine d’années. Vous ne le saurez jamais car dans vingt ans je suppose que je ne tiendrais pas à jour le présent site... Mais on sait jamais ;-). Les billons ont aussi été coupés à la bonne lune ce qui devrait améliorer leur résistance.

Nous allons aussi faire un mur en pierre sèches à l’ouest de la maison (environ 1.80 m dégressif) qui lui sera increvable (s’il est bien fait ;-)) !

Pendant que Paul terrassait, de notre côté, nous avons fini le côté technique du poêle. C’est à dire que pour respecter les normes, il faut encore isoler l’arrière avec au moins 12,5 cm (je crois que la norme est 10 cm, mais mon poêlier préfère assurer, à vérifier) de briques isolantes. Puis j’ai découpé une plaque armée d’un treillis en céramique pour faire le couvercle.

Isolation à l’arrière du poêle.
Isolation et le couvercle.
Le couvercles est à finir.
Lame pour peler ou lame de plafond ?

J’ai commencé par allumer un feu dans le poêle de masse. C’est de saison ! Bon c’était pas pour chauffer la maison (quoi que...) mais pour l’essayer et pour qu’il se mette en place. Selon mon poêlier-fumiste, c’est bien de le faire quand on a le temps.

C’était intéressant de voir qu’il prend son temps pour chauffer. Après une flambée, il était à peine tiède. J’en ai refais une en début d’après-midi et il était chaud (on va dire environ 35 à 40°).

La flambée de mise en place.

Puis j’ai fais mon sport de la journée : je suis aller écorcer quelques billons en prévision de la journée de montage du mur de soutènement en rondins (pour laquelle je fais d’ailleurs un chantier participatif)...
Pour peler l’écorce, j’utilise un « Biber » qui ressemble à un grand épluche-légume à moteur pour grande carottes.

Le Biber.
Le voici en position.

Il faut faire des allés et retours depuis en haut du billon jusqu’en bas, puis faire tourner le billon d’un quart de tour et recommencer jusqu’à qu’il soit complètement pelé.

En 3 heures j’an ai fait 5, mais tout seul. Je pense qu’il est préférable d’être à 2 pour faire ça, pour pouvoir échanger de temps en temps et que quand on arrive en bas du billon, l’autre le fasse tourner. On y gagnerait du temps et de l’énergie !

En ce qui concerne la technique de montage, voici un prototype de découpe d’encoche aux croisements des billons. Je donnerai plus de détails quand on aura fait le mur.

Prototype de raccordement.
Découpe de raccordement.

Pour me reposer un peu, je suis allé faire du lambris. En effet, je pense qu’il est temps de poser ce lambris qui attend depuis octobre...

Donc le lambris, on va le poser de en haut à en bas. On mettra les agrafes dans la rainure afin qu’elle soit invisible. Ici un vidéo représentative de comment je vais faire : http://www.youtube.com/watch?v=j7jIc8HKMWA

Pour ma part j’ai des lames qui font environ 5,2 m. Pour la partie que je veux faire maintenant, c’est parfait puisque j’ai des longueurs de 5 m tout rond. Donc très peu de chutes.

Avant de poser les lames, j’ai décidé de mettre un papier entre la paille et les lames afin d’éviter que les poussières de la paille ne tombent plus bas.

Bon j’attaque la première lame. Elle n’a pas été facile à mettre car on a un petit problème de conception : la panne intermédiaire n’est pas assez basse, ce qui fait que la lame arrive à raz la panne et au niveau design, je trouve qu’on peut faire mieux. Mais bon on fera avec !
Cette première lame, on l’a fixée devant (du côté de la panne) avec des clous sans tête qu’on a enfoncé avec un chasse clou. Puis à l’arrière, dans la rainure, j’ai agrafé avec des agrafes de 35 mm sous chaque chevrons.

Bon j’attaque la deuxième lame. Mais celle-ci est déjà une toute spéciale car on arrive déjà sur la porte du box pour mon beamer ! Il faut donc découper précisément le haut de la porte, et garder la chute pour la coller sur la porte, afin de ne voir que le cadre de la découpe et que ce soit la même lame qui couvre la porte... Ben vous voulez que je vous dise ? Je l’ai ratée, j’ai fait la découpe du mauvais côté, pffffff ! Bon ben c’est l’heure, je garde ça pour demain...

La première lame.
On voit aussi le papier anti-poussières.
A raz la panne !
On voit en haut que ce n’est pas toujours bien collé à la panne...
Fondations pour la terrasse

Aujourd’hui on prépare la construction du mur de soutènement (qui se fera en participatif le 13 juillet) en rondins de bois à l’est de la maison.

A ce sujet, quelques explications. Le mur sera fait de rondins de bois. Pour que celui-ci tienne la poussée de la terre qui se trouvera derrière, on fera des ancrages (avec les rondins) qui seront pris dans la terre. Une image est bien plus parlante...

Vue 3D de la partie qui sera entérée
On y voit bien les ancrages.

Selon mon fournisseur de bois, un mur comme ça devrait avoir une espérence de vie - dans un terrain comme le mien qui est très drainant - d’une quarantaine d’année. Bien assez pour moi ;-).

En ce qui concerne la terrasse, j’ai décidé de la désolidariser du mur de soutènement. Mon instinct me dit qu’il va un peu bouger et se mettre en place. De plus il ne sera pas hors gel.

Vue 3D de la terrasse et du mur.
Désolidarisés l’un de l’autre.

Bon dans le concret, on a commencé par faire un peu d’implantation pour la construction des fondations de la terrasse est qui seront proches du mur de soutènement (ce sera plus difficile de les faire une fois que le mur sera construit). Pour ça on a mis un cordeau positionné dans l’axe des piliers et au niveau 0.00 (sol fini).

Ensuite on a nettoyé les trous et mis à niveau hors gel. Puis on a fait les armatures avec des fers diamètre 8 et on a coulé la semelle de la fondation.

Une fondation prête à être coulée.
Le trou nettoyé et armé. On y voit aussi le cordeau au niveau 0.
Et une semelle de fondation coulée.

Pour l’après-midi je me suis réservé une petite séance de sport. Mon neveu est venu me donner un coup de main pour écorcer les billons qui attendent et qui doivent être faits d’ici au 13 juillet...
Bon au bouleau. Après une petite explication à mon neveu, on s’y est mis. Très vite il a bien capté le truc. Génial. Le temps qu’on se synchronise et on y est allé. J’en faisait un, puis il en faisait un, etc...
On en a quand même fait une douzaine !

Un grand merci à Caryl pour ton aide.

Préparation

L’objectif aujourd’hui est de préparer la journée de samedi où nous ferons le mur de soutènement en rondins de bois.

Tout d’abord on a décoffré les fondations des piliers pour la terrasse. Elles sont pico-bello !

Les fondations de piliers décoffrés.

Ensuite on a préparé la citerne de récupération d’eau vu qu’elle va enfin être ensevelie sous la terre de remblais.
On commence par faire un trou en haut de la citerne pour y faire passer le trop plein et la gaine technique qui elle même fera passer le tuyau de pompage et la sonde [1]. Au dernier moment j’ai pensé qu’on devra mettre le filtre sur la cuve et que lui-même a un trop plein ! Il faut donc mettre une attente pour celui-ci, et donc il ne faut pas un coude qui va dans la cuve, mais un "T" pour ensuite mettre un coude pour le filtre...

Le trop plein (orange) et la gaine (rouge).
On y voit l’entrée du trop plein dans la cuve ainsi que l’attente pour le trop plein du filtre.

Une fois fait on a nettoyé la zone qui sera remblayée, en particulier contre le mur de la cave (extérieur vous l’aurez compris) où les divers travaux (échafaudages, enduits, feuilles mortes, etc...) on laissé une couche de matériaux indésirable.

En nettoyant, j’ai (re-)découvert une attente pour un éventuel futur drainage derrière le mur de soutènement. A l’époque ne sachant pas exactement de quoi serait fait ce mur, j’ai prévu que l’on ait un drainage qui en fasse le tour. Maintenant faisant un mur en rondins qui ne craint ni eau ni gel et ayant un terrain très drainant par lui-même, on va simplement boucher celui-ci. Peut-être qu’il servira quand même un jour ?!

L’attende pour un éventuel drainage futur.

Voilà, on est prêts ! On se réjouit de samedi pour enfin voir monter ce mur en rondins !

Nettoyé et branché.
Notes

[1La sonde sert à connaitre le niveau d’eau dans la cuve. Quand la cuve sera vide, on passera automatiquement sur le réseau d’eau de ville.

On se fait le mur !

Une grosse journée qui démarre sur les chapeaux de roue car Paul est là avec sa pelle mécanique et on commence directement par terrasser un peu. En effet, il faut monter un peu le niveau pour le premier billon afin qu’il soit quelques centimètres en dessous du niveau extérieur du rez-inférieur fini. Je préfère que ce premier billon soit en partie dans la terre afin qu’il soit tenu.

Voilà, Paul amène le premier billon à grand coups de bras de pelle. Oh là là, quelle bonne idée j’ai eu de vouloir une pelle mécanique pendant le montage du mur !!

Le premier billon en place.

Un foi en place, on commence à faire les encoches pour poser les ancrages et le prochain billon perpendiculaire.

Petit à petit le mur monte et je trouve ça cool à faire, cool à voir et très cool comme concept !

A midi, nous n’avions que deux rangées, mais il fallait bien se mettre en place et se régler.

Etat à midi.
On y voit la dameuse en vert.

Au niveau statique, nous avons mis un peu de fruit, environ 1/3 de billon par étage.

En règle général, nous faisons les ancrages d’environ 2 m. Aussi les transversales (les rondins qu’on voit dans leur longueur) nous les faisons dépasser dans la terre d’environ 2 m.

Pour les encoches, c’est mieux de faire trop petit puis agrandir. Donc on prépare l’encoche (première découpe) puis nous amenons le billon et nous faisons les ultime réglages.

Découpe d’une encoche.

Au fur et à mesure que le mur monte, nous remblayons et nous tassons la terre à la « tape tape » (dameuse).
Le côté plus pénible est le remblayage contre le mur de la cave, eh oui on doit mettre nos galets pour aérer les briques en terre cuites !

A la fin de la journée, on a comptabilisé 6 niveaux de billons (moins que je pensais, mais ça c’est comme d’habitude...).

Etat du mur en fin de journée.
On voit bien les ancrages de toute part.

Ce fut une belle journée intense !

Un grand merci à Pierre-André, Yvan et Paul pour leur précieuse aide, ainsi qu’à Laurent pour cette délicieuse Paella de midi !

3 rangées de plus

Une fois n’est pas coutume, on a travaillé un lundi soir au grand dam des voisins qui ont dû supporter les bruits des machines (pelle mécanique, tronçonneuse et surtout « tape tape ») jusqu’à 21h15 ! Merci à eux pour leur compréhension.

En fait j’ai le matériel jusqu’à lundi prochain et il faut que je finisse ce mur d’ici là. Donc priorité une sur le mur !

Afin que Paul puisse se frayer un chemin jusqu’en haut du mur, on a dû faire un grand nettoyage des alentours, car il y avait une myriade de palettes, fenêtres, portes, etc. qui traînaient justement dans ce coin.

Une fois fait, Paul a donc terrassé son chemin pour pouvoir monter jusqu’au dessus du mur. En effet, pour remblayer, ça commence à devenir inaccessible depuis le bas.

Suite de quoi on a mis une rangée, et très vite il a fallu remblayer le coin entre la citerne et le mure de la cave (qui justement était inaccessible).
Pendant le dit remblayage, un malencontreux coup de pelle mécanique a cassé notre « T » pour le trop plein de la citerne ! Heureusement il n’est pas en miette. Solution : on va le bétonner autour pour étanchéifier tout ça.

Au niveau de la citerne.
On voit à gauche le coin remblayé entre la citerne et le mur.

Après un bon petit repas bien mérité, on a continué à empiler les billons et en fin de soirée, nous étions en dessus de la citerne.

Reste encore environ 70 cm et nous y seront !

Par contre avant de pouvoir continuer, il faut maintenant finaliser les installations sur la citerne, à savoir la chambre de visite et le filtre pour l’eau.

8 rangées !
Oh, ben, c’est fini ?!

Ce jeudi, Paul vient en début d’après-midi pour avancer la construction du mur de soutènement et remblayer derrière le dit mur. Mais avant cela, on doit finir la « connectique » des différents éléments pour la récupération d’eau. Soit :
 L’arrivée dans le filtre.
 Le tuyau qui descend du filtre à la cuve.
 Le trop plein du filtre.
 Aussi on va vider la cuve qui au cours des deux dernières années s’est gentiment remplie par infiltration sous les couvercles. J’estime qu’il y a 3000 litres...

Bon je commence par aller acheter du matériel (tuyau, coudes, manchons et une pompe).

On commence par installer la pompe. Problème, j’ai acheté une pompe immergée. Elle n’est pas très puissante et le tuyau que j’ai acheté est trop mou. Il se plie (et donc se ferme) et empêche l’eau de monter. De plus, l’eau a quand même plus de 3 mètres à monter avant de redescendre dans les égouts. Bref, heureusement que j’avais un peu de matériel, car j’ai réussi à bricoler un raccord sur un tuyau d’arrosage (moins souple) qui a permis à la pompe de faire son travail. Il a fallu au moins trois heures pour (presque) tout pomper.
Je pense qu’une pompe extérieure (non immergée) aurait été mieux et plus efficace.

La pompe au fond de la cuve.
On voit le tuyau d’arrosage qui sort.

Ensuite on a posé le tuyau qui descend au fond de la cuve. Ça a été facile. On l’a glissé dans le manchon qu’on a bétonné le jour avant et on l’a coupé juste au-dessus de la sortie.

Le tuyau d’arrivée d’eau qui va au fond de la cuve.

Bon ben on continue l’arrivée d’eau, soit du filtre au dit tuyau.

Le tuyau du filtre à la cuve est en place !

Et puis l’autre, du filtre au trop plein.

Les deux sont branchés.

Et voilà qu’il est déjà midi. Le temps de manger et Paul arrive. C’est parti pour le remblayage et le montage du mur de soutènement ! On commence par remblayer une peu et surtout contre la maison et autour des tuyaux afin de les fixer et les protéger. Sur les tuyaux, on a mis une couche de sable afin de les protéger d’éventuels cailloux qui pourraient les percer.

Un tuyau enrobé de sable.

Et puis de bon train on s’est mis à continuer le mur. Vers 16h on a regardé où on en était et on s’est dit qu’il devrait y avoir encore deux ou trois rangées à faire. Je suis alors aller sélectionné un billon, mais il ne restait plus que des billons de 5 m. Le problème est que pour faire ancrage il faudrait au moins 6 m. Bon, je demande à Paul de quand même venir le prendre et on verra sur place. Une fois sur place, on constate qu’il est trop court pour faire de l’encrage et que donc il faudra en écorcer un autre. On gardera celui là comme dernier billon. Vu l’heure, je décide d’arrêter là et on pose ce billon dans les encoches en attendant samedi (pour finir). Et là, oh miracle (enfin pas vraiment), on constate qu’il est pas si mal, que le niveau fini est à peine 10 cm en dessus ! Donc donc !!! Le mur de soutènement est FINI ! Ah quelle bonne surprise.
On viendra quand même samedi pour finir de remblayer.

Le voilà tout fini !
On voit qu’il reste à remblayer...
C’est plein !

Ce matin Paul est à nouveau là pour (pré- [1])finaliser le remblayage derrière le mur de soutènement. Il a fait sont petit « business » et vers midi le niveau de la terre derrière le mur était à raz le dernier billon !
Ça fait plaisir de voir que la cuve de récupération d’eau a disparu. Il ne reste plus que le couvercle de la chambre de visite qui disparaîtra lui aussi sous la terre végétale.

Au sujet du mur de soutènement, mes deux derniers rondins au fond on un espace entre eux qui est assez conséquent. Afin d’enjoliver un peu tout ça, j’y ai mis un bout de perche (rondin plus petit, env 10 cm de diamètre) entre les deux rondins du côté remblayé (avant remblayage, forcément) et c’est vraiment plus joli. Je vous le conseille donc !

Le niveau de terre au top.
Reste encore la terre végétale.

De mon côté, je suis allé changer ma pompe et j’en ai pris une de jardinage (plus puissante et non immergée). Ben c’était pas mieux. Je crois que je dois un peu étudier l’histoire, mais ce n’est pas le moment...

On a aussi profité de faire un petit raccourcis pour entrer et sortir au niveau du rez-supérieur.

Pour ce qui est du branchement final de la cuve (des descentes chéneaux au filtre), je laisse de côté un petit moment. Je veux d’abord tirer la conduite depuis la descente de chéneau ouest pour avoir le niveau d’arrivée exact.
Aussi je veux faire un bac de rétention qui empêche l’eau d’être récupérée dans les 20 première minutes. En fait la pluie draine l’atmosphère de toutes ses impuretés que entre autre nous les hommes diluons gracieusement... Aussi c’est pendant ces 20 premières minutes que le toit est nettoyé (pollen, feuilles, petites bêtes, etc...).
Le principe du bac de rétention est mécanique et assez simple. Je dois avoir un bac d’environ 200 litres qui se remplit quand il pleut. Quand le bac est plein, l’eau est alors redirigée dans la cuve. Puis le bac se vide tout gentiment grâce à un petit trou. Pour les détails, ce sera quand je le ferai... Au niveau des références, j’ai vu ça dans le livre de la maison des Guisan (la clé de sol) qui ont fait un système similaire.
Bref le dit bac était là depuis le jour où on a acheté le terrain. Je l’avais mis de côté exprès pour ça. Son jour est donc presque arrivé...

Le bac de rétention.
Derrière on voit notre passage au rez-supérieur.

Pour finir sa matinée, Paul nous a fait un petit chemin afin de pouvoir monter ou descendre des matériaux, il a nettoyé les alentours, nous a fait une petite fouille pour mon tuyau d’arrosage extérieur, un joli trou pour faire une fondation de pilier de terrasse et une fouille pour le drainage ouest (ben ouais, on a profité de sa pelle mécanique !).
Merci Paul pour ta disponibilité ce samedi.

Vue d’en bas.
Paul nous a fait un petit chemin pour pouvoir monter avec du matériel.

Ayant encore quelques heures, on a décidé d’aller continuer le lambris dans le combles. On en a mis quatre rangées, mais elles étaient assez compliquées et ça a donc pris du temps...

Notes

[1« Pré » car après il faudra encore démonter notre cabanon, égaliser le remblayage et mettre la terre végétale...

SPIP | | Suivre la vie du site RSS 2.0